Ambre XIV

Témoin de l’histoire de la Maison, ce calvados résulte de l’élaboration patiente de quelques eaux-de-vie remarquables des années 2004, 2005 et 2006 distillées puis vieillies au Manoir des Ambres. Il offre aux regards une robe orangée, nuancée de reflets acajou. Au nez, son bouquet somptueux, puissant et complexe associe des arômes beurrés de toffees anglais et de rancio à des parfums subtils de fruits confits enveloppés de vanille. En bouche, ce calvados parfaitement structuré révèle son volume élevé dans une harmonie aussi fondante que sophistiquée, sublimée par une grande longueur.

Calvados Flacon de 70cl Ambre XIV 14 ans d'âge

Calvados

Ambre XIV

14 ans d'âge

Appellation Calvados Pays d’Auge Contrôlée
Distillé et élevé à la propriété

Calvados Ambre XIV médailles
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AMBRE XIV

Calvados du Pays d'Auge

Dégustation

Robe : Brillant, orangé intense, nuances acajou

Nez : Puissant, très boisé, très engageant, sur des notes de toffee (café/caramel), de rancio, de pain grillé, de vanille et d'épices (cannelle), accompagnées de nuances de fruits à l'eau de vie.

Bouche : Grande complexité, très structuré, volumineuse, élégante, rancio, vanille, mêmes arômes qu'au nez.

 

Appréciez le AMBRE XIV

Véritable calvados de dégustation, seul ou avec un carré de chocolat noir intense. 

 

Récompense

Festival AOC/AOP Cambremer 2023 - Médaille d'Or
Festival AOC/AOP Cambremer 2022 - Médaille de Bronze

Sol

Parcelles du Pays d'Auge peu profondes, argile à silex


Pommes

Entre 5 et 15 variétés dont Bisquet, Mettais, Rambault, Belloy des Ambres


Fermentation

4 à 6 semaines en cuve inox de 80hl


Distillation

Double distillation en alambic à repasse


Vieillissement

Au moins 14 ans en fûts de chêne Français


TAV

40 à 45% Vol. selon les Blends – Nous consulter 


Calvados Pays d'Auge appellation contrôlée Normandie France

« Nos calvados comme notre pommeau traduisent les mystères de la Nature.
Ce sont de petites révélations, celles qui guident spontanément au partage, au voyage, à la découverte de ce Pays d’Auge qui m’est si cher ! »

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Justine Primat